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26.05.2025

Au domaine historique de Sandricourt, des journalistes cynégétiques français ont testé l’ACRO S-2 d’Aimpoint lors d’une simulation réaliste de chasse aux oiseaux.

Chasse en battue à la française, à l’anglaise – avec un point rouge suédois sur le fusil de chasse

Lorsque le distributeur français d’Aimpoint, Humbert, a convié dix journalistes spécialisés à une journée au Domaine de Sandricourt, au nord de Paris, le programme associait tir au fusil, découverte du viseur point rouge ACRO® S-2 et convivialité. Les participants ont pu tester ce viseur dans un contexte pratique, au cours d’une battue simulée inspirée des grandes chasses traditionnelles françaises.

Sandricourt est une référence dans les cercles cynégétiques français – un domaine historique de 1 500 hectares mêlant forêts et terres agricoles. Le domaine propose des chasses au faisan, à la perdrix et au sanglier, mais pour cette journée, les cibles étaient des plateaux d’argile. La battue simulée, organisée comme une véritable chasse, a permis aux invités de s’immerger dans l’ambiance d’une journée de chasse traditionnelle.

La journée a débuté par une présentation succincte d’Aimpoint, suivie d’une démonstration pratique de l’ACRO S-2 par le formateur Axel Martinsson. Les participants ont ensuite été répartis sur différentes battues dans le paysage vallonné du domaine.

« C’est difficile – mais efficace »

Les plateaux se sont révélés être des cibles exigeantes. Ils arrivaient en volées, haut et rapide. Aurélien Legrand, journaliste cynégétique et tireur sportif expérimenté, faisait partie des participants.

– Ce n’était que ma deuxième utilisation de l’ACRO S-2, et il m’a été assez difficile d’adapter mon tir pour être précis. Je suis habitué à un autre type de visée. Mais c’est un très bon produit – particulièrement adapté aux oiseaux volant haut et en ligne droite, comme les canards ou les pigeons, a-t-il déclaré.

Aurélien écrit régulièrement pour La Revue Nationale de la Chasse, Le Chasseur Français et Grand Gibier, et il a mentionné qu’il chasse principalement les oiseaux migrateurs tels que la bécassine et la tourterelle – un segment de chasse où l’ACRO S-2 pourrait bien trouver sa place.

« Un mode de vie, pas un sport »

Kevin De Rorre, rédacteur dans les mêmes publications, estime que l’ACRO S-2 facilite le tir :

– C’est plus simple de se concentrer sur la cible, surtout contre le ciel. Il n’y a qu’un seul plan à considérer, et c’est efficace, a-t-il expliqué.

Kevin préfère la chasse au petit gibier à plumes et décrit la chasse non pas comme un loisir, mais comme un mode de vie :

– Ce n’est pas un sport pour moi. C’est une façon de vivre. Chaque jour, je pense à la nature, au gibier, à la chasse. C’est une partie de moi.

Lorsqu’on lui a demandé quelle serait sa chasse de rêve, il a répondu :

– Le canard de mer en Alaska. Des oiseaux sauvages dans un paysage sauvage – il y a quelque chose de mystique là-dedans.

« Une toute autre perspective »

Carole Voute, responsable de la Beretta Gallery à Paris, a utilisé l’ACRO S-2 pour la première fois. Elle a particulièrement apprécié la possibilité de tirer les deux yeux ouverts :

– Cela procure une sécurité, surtout pour les débutants ou pour ceux dont l’œil directeur ne correspond pas à l’épaule de tir. On a une toute autre perspective. On est presque à moitié aveugle quand on ferme un œil, en réalité.

Carole a elle-même une expérience de la chasse en France, en Écosse et en Europe du Nord, et elle a mentionné le grand tétras comme son oiseau de rêve – un gibier magnifique qu’elle n’a jusqu’à présent vu que dans sa boutique, grâce à un client qui lui a offert un de ses trophées.

« Sandricourt était mon objectif »

Le choix de Sandricourt pour cet événement n’est pas un hasard. La chasse y est ancrée dans une longue histoire, tant pratique que culturelle. Le domaine est la propriété de la même famille anglo-américaine depuis le début du XXe siècle, ce qui se reflète non seulement dans l’architecture du château, mais aussi dans l’exécution des chasses. Des gardes-chasse anglais y ont été une présence constante pendant des générations – une tradition qui perdure.

Aujourd’hui, c’est Steven Toft qui occupe le poste de chef garde-chasse à Sandricourt. Il est en poste depuis trois ans, mais il avait les yeux sur cet endroit bien avant cela.

– J’ai toujours voulu être ici à Sandricourt. C’était un objectif pour moi depuis longtemps, a-t-il déclaré.

Il travaille avec deux collègues dans l’équipe de gardes-chasse, mais en tant que chef garde-chasse, c’est Steven qui porte la responsabilité ultime des chasses – au sanglier, à la perdrix et surtout au faisan. En juillet commence l’une des périodes les plus intenses de l’année : les faisans sont relâchés dans les neuf grandes volières, où ils peuvent voler librement et apprendre à connaître le terrain. Contrairement à de nombreux autres domaines, où les oiseaux sont relâchés avant chaque journée de chasse, ici, tout est fait en une seule fois. Cela demande plus de travail, mais cela donne des oiseaux qui volent plus haut, plus vite – et qui se sentent chez eux dans le paysage.

Le reste de l’année est consacré à la création des bonnes conditions. L’habitat doit être entretenu, les prédateurs contrôlés, les chiens entraînés – et les oiseaux doivent être habitués à revenir. Ce dernier point est réalisé par un sifflement : un ton particulier, toujours le même, associé à la nourriture et répété chaque jour. Au fil du temps, les faisans répondent au signal et reviennent volontairement à l’endroit. Une routine simple, mais essentielle pour garder les oiseaux à proximité – et pour les maintenir sauvages mais gérables.

Pour Aimpoint, cette journée a été l’occasion de montrer comment l’ACRO S-2 peut devenir un élément naturel de la chasse – un outil qui combine précision et perspective avec le type de tir instinctif propre à la chasse au gibier à plumes.

ACRO S-2 en vedette

L’ACRO S-2 d’Aimpoint était la vedette de la journée. Ce viseur point rouge compact de 9 MOA est spécialement conçu pour les fusils de chasse et convient à la fois à la chasse et au tir sportif. Son montage bas permet une visée naturelle et une avance fluide, tandis que le point rouge facilite l’acquisition rapide de la cible – en particulier dans les situations où le tireur doit agir instinctivement. Au cours de la journée, les viseurs ont été utilisés lors de différentes battues simulées représentant des faisans et des perdrix.

Aimpoint® Acro® S-2